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Comment encourager l’éducation permet de payer moins d’impôts

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college musulman alif
Collège privé musulman Alif, Toulouse

Pour ceux qui ne l’ont pas déjà reçu ces derniers jours, l’avis d’imposition annuel sur le revenu ne devrait pas tarder à pointer le bout de son nez. En l’ouvrant, vous aurez le plaisir de découvrir le montant de l’impôt dont vous vous acquitterez cette année.

Certains contribuables ne paient pas d’impôts

En 2013, en France, chaque foyer imposable a payé en moyenne autour de 2 320,40 euros d’impôts sur le revenu. Ceux qui ne sont pas imposables du fait de revenus trop faibles n’ont pas payé d’impôts. Mais ils ne sont pas les seuls à ne pas avoir payé d’impôts.

Des contribuables, qui auraient dû s’acquitter au vu de leurs revenus d’un impôt atteignant parfois plusieurs milliers d’euros, n’ont rien eu à payer, pas le moindre centime d’euro. Ils n’ont malgré tout ni fraudé ni bénéficié d’un passe-droit.

La pratique, aussi banale que répandue, est encouragée par l’Etat afin d’amener la société civile, principalement les particuliers, à soutenir des organismes d’intérêt général. Autrement dit, un contribuable qui aide financièrement un organisme qui oeuvre pour le bien de la société sera “récompensé” directement sur sa feuille d’impôts.

Conditions d’une réduction d’impôts

La réduction d’impôts pour les particuliers est encadrée par l’article 200 (et 200-bis) du code général des impôts. Ses principales conditions sont les suivantes :
– la réduction d’impôt est de 66 % ;
– le don ne doit pas excéder 20 % du revenu imposable ;
– l’excédent est reporté sur les cinq années suivantes et donne droit à une réduction d’impôt dans les mêmes conditions.

Réduisez vos impôts en contribuant à l’enseignement privé

Vous payez depuis des années des impôts. Vous n’y voyez pas d’inconvénients, mais vous vous dites régulièrement que cet argent aurait pu bénéficier à telle ou telle association particulièrement chouette, mais qui peine à boucler son budget de fonctionnement, à l’instar des établissements privés musulmans.

Lire – Ecoles, collèges et lycées musulmans de France

N’attendez plus. Les 2, 3 ou 4 000 euros que vous payiez jusque-là aux impôts peuvent finir dans la caisse de l’établissement scolaire de votre choix. Pour cela, commencez par vérifier que l’école est bien agréée par l’Etat. C’est là une première reconnaissance administrative, et donc une première assurance.

Tâchez de prendre contact avec l’école, de l’académie, voire des impôts afin de vous assurer que votre don sera bien déductible de vos impôts. Une réponse par courriel de l’académie ou des impôts vous certifiant que tel ou tel établissement est bien concerné par la réduction fiscale vous permettra de faire votre don en toute sérénité.

Estimez le montant de votre prochain impôt sur le revenu grâce au simulateur en ligne du ministère de l’Economie et des Finances : simulateur de calcul de l’impôt sur les revenus. Anticipez le montant de votre futur impôt vous permettra de connaître le montant maximum du don que vous pouvez faire tout en bénéficiant de la réduction fiscale.

Prenons un exemple

Prenons le cas d’une personne ou d’un foyer devant s’acquitter l’an prochain, après estimation, d’un impôt d’un montant de 2 000 euros.

Pour déterminer la somme totale qu’il peut donner à une école, une association, etc. – et tout organisme permettant aux donateurs de prétendre, selon la loi, à une réduction d’impôts — pour arriver à un impôt égal à zéro, il suffit simplement de multiplier les 2 000 euros estimés par 1,5.

En clair, si j’ai 2 000 euros à payer l’an prochain aux impôts, il me suffit de donner 3 000 euros à un ou plusieurs organismes reconnus : 2 000 x 1,5 = 3 000 euros.

S’agissant des écoles à soutenir, vous pouvez retrouver la liste des établissements en fonctionnement et les projets d’école que nous avons recensé à ce jour en cliquant sur le lien suivant : Ecoles, collèges et lycées musulmans de France.

Terminons en rappelant que cette réduction d’impôts s’applique aussi aux organisations humanitaires et à bien d’autres associations. N’hésitez donc pas à vous renseigner et à donner toujours plus.


Soutenez l’enseignement privé musulman et payez moins d’impôts.
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Rediffusion du 6 septembre 2014


Taxe d’apprentissage 2016 : versez-la aux établissements musulmans

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Al-Kindi
© Al-Kindi

Chaque année, les entreprises qui ont des salariés versent une taxe appelée « taxe d’apprentissage », via un organisme collecteur, à un établissement qu’elles auront choisi. Ce versement doit se faire avant le 29 février.

Cette taxe est un impôt que les entreprises ont obligation de verser afin de financer “les dépenses nécessaires au développement des premières formations technologiques et professionnelles” (article 224 du code général des impôts). Elle représente 0,5 % de la masse salariale.

Avec l’émergence de l’enseignement privé musulman, cette taxe revêt un enjeu très important : si professionnels et employés musulmans se mobilisent efficacement, ce plusieurs centaines de milliers d’euros, voire plusieurs millions, qui pourraient revenir au privé musulman.

Lire – Enseignement musulman : 65 établissements et projets privés en France

Que les chefs d’entreprise qui nous lisent et qui ont des employés demandent très explicitement à leur comptable de remplir les formulaires ad hoc en mentionnant un établissement privé musulman de leur choix, éligible à cette taxe. Que les comptables qui nous lisent invitent leur patron à choisir le privé musulman. Les salariés quant à eux peuvent en toucher deux mots à leur collègue comptable ou à leur patron, si la situation s’y prête.

Dans tous les cas, cette fois encore la mobilisation de chacun avant le 29 février peut profiter aux établissements éligibles. Les parents d’élèves ou futurs parents d’élèves ont leur rôle à jour en diffusant l’information. Il en va de la viabilité de l’enseignement musulman qui peut trouver dans l’entrepreneuriat musulman une partie des ressources vitales qui lui font encore défaut.


Publiée initialement le 31 janvier 2012, l’interview suivante, toujours d’actualité, nous a été accordée par un responsable du groupe scolaire Al-Kindi, l’un des tout premiers établissements musulmans éligibles à la taxe d’apprentissage.

Entrepreneurs, reversez votre taxe d'apprentissage à l'établissement Al-Kindi

Al-Kanz : Comme chaque année depuis trois ans, vous sollicitez les entreprises pour qu’elles vous reversent l’argent de la taxe d’apprentissage. Pouvez-nous nous en dire plus sur cette taxe et son principe ?
Al-Kindi :
Oui, c’est assez simple. Pour faire court, la taxe d’apprentissage est un impôt dont doivent s’acquitter, avant le 1er mars, quasiment toutes les sociétés, commerces, associations… dès lors qu’ils embauchent du personnel. Cet impôt est, comme son nom l’indique, destiné à financer l’apprentissage et la formation professionnelle. En pratique, si une partie de l’impôt est obligatoirement récupérée par l’État, une autre est librement cessible. En clair, l’employeur peut décider d’offrir la quote-part libre de son impôt, à tel ou tel établissement qui sera agréé. Ce qui, en France, n’est actuellement possible que pour deux établissements privés à référence musulmane, le Groupe Scolaire Al Kindi et le lycée Averroès.

Al-Kanz : Qu’est-ce qui a amené Al-Kindi à se tourner vers les entreprises ?
Al-Kindi :
L’idée, comme le constat qui en est à l’origine, était simple. Les projets issus de la communauté musulmane affichent un taux de dépendance aux collectes publiques (marchés, levée de fonds lors des prières de vendredi, etc.) qui est exorbitant. Les gens sont trop sollicités, et finalement, se fatiguent. Le viabilité des projets est de ce fait gravement mise en péril. Les personnes en charge de projets collectifs doivent d’ailleurs savoir que d’autres sources de financement existent et qu’il leur incombe d’y avoir recours. Pour cela, il est nécessaire de se creuser la tête, de chercher à savoir, à comprendre, à vouloir dépasser les complexités des rouages de notre société. L’idée qui a présidé à notre rapprochement avec les entreprises répondait précisément à cette idée-force : aucune école privée ne pourra vivre grâce aux seules quêtes sur les marchés, en “mendiant” quelques pièces, de la charité de passants qui ne s’arrêtent même plus. L’exigence d’ouvrir et de faire vivre des établissements privés étant considéré comme un devoir religieux collectif et individuel, reposant sur l’individu comme au groupe auquel il appartient, nous nous sommes donc mis en quête de fonds là où il y en a. Et c’est ainsi que nous fûmes le premier établissement à référence musulmane à être éligibles à recevoir la taxe d’apprentissage.

Al-Kanz : Quel écho votre démarche a-t-elle à l’égard des entrepreneurs ?
Al-Kindi :
Un écho positif, assurément. Tout d’abord, les entrepreneurs sont en général trop occupés par leurs activités quotidiennes pour s’investir dans des projets non lucratifs, sociaux ou religieux. Les solliciter pour le reversement de leur taxe ou pour parrainer l’établissement leur offre ainsi une opportunité de faire coïncider leur activité professionnelle et leur désir de s’engager pour les autres, conformément aux exigences de l’éthique islamique. Par ailleurs, notre démarche présente aussi des vertus pédagogiques : trop nombreux sont en effet les entrepreneurs qui “délèguent”, pour ne pas dire abandonnent, la gestion fiscale et administrative de leur commerce à leur comptable. En les sensibilisant aux largesses de la loi et aux possibilités offertes aux acteurs de la vie économique de faire plus que de simplement créer de la richesse, nous leur donnons finalement des outils de compréhension du système qui leur servent à mieux appréhender leur environnement et, in fine, à mieux gérer leur propre entreprise.

Al-Kanz : A combien s’élève votre budget de fonctionnement ? Peut-on penser que le reversement de la taxe d’apprentissage puisse le couvrir dans sa totalité ?
Al-Kindi :
A ce jour, notre budget s’élève à plus de 1 550 000 euros par an. C’est gigantesque, je le reconnais. Et pourtant, s’agissant d’un établissement privé, c’est relativement peu par rapport au coût réel de ce que représente une scolarité. C’est là une vérité qui ne souffrira jamais d’être répétée : l’éducatif coûte très, très cher et ne rapporte pas d’argent. Il s’agit de “construire” des hommes, non plus simplement des murs, et en la matière c’est par la réunion solidaire de tous les hommes, l’union des énergies de toute une communauté que nous y parviendrons. Dans ce contexte, la taxe d’apprentissage pourrait-elle couvrir entièrement notre budget ? Mathématiquement, en considérant notre poids économique, oui. Très largement. En pratique, j’en ai seulement l’espoir. Car nous en sommes encore très loin. Pour y arriver, nous devons effectuer un travail colossal d’information, de mise en relation, et finalement, de “conscientisation”. L’objectif est de faire comprendre à tous les concernés que leur inaction est un gâchis incommensurable, dont nous aurons tous à répondre.

Al-Kanz : Comment nos lecteurs entrepreneurs peuvent-ils faire pour reverser la taxe d’apprentissage de leur société ?
Al-Kindi :
Très simplement. Il suffit de se rendre sur notre site dédié où tout est expliqué : www.al-kindi.fr.

Lycée Al-Kindi

Etablissement privé musulman d’enseignement général et technologique
Contact : Ymed ATTOUR
17 rue Sully – 69150 DECINES
Port. : 06 73 17 40 39
Fax : 04 78 49 02 03
Site web :
Email : taxeapprentissage@al-kindi.fr

Al-Kanz : Et ceux qui ne sont pas entrepreneurs, mais qui voudraient vous venir en aide. Comment peuvent-ils apporter leur aide ? On peut imaginer par exemple qu’ils en parlent à leur boulanger, leur boucher, leur épicier, etc., non ?
Al-Kindi :
Bien évidemment, nous connaissons tous des commerçants, des entrepreneurs qu’on peut appeler. De même, on peut communiquer sur les réseaux sociaux, faire des pages, transférer des mails, passer quelques coup de fils… On ne se doute pas de l’impact de ces petits gestes qui bien souvent changent tout. En faisant la démarche d’aller parler à son commerçant, en lui laissant une plaquette d’information qu’on peut télécharger sur notre site, en insistant pour qu’il n’oublie pas, on devient des acteurs de l’enseignement confessionnel musulman. Et ce n’est pas rien. Aussi minime soit-il, chaque acte devient alors, quand on le relie aux autres, la goutte de pluie annonçant l’averse d’un changement historique. C’est immense ! Wal HamduliLlah. L’idée est d’informer le plus grand nombre de la possibilité de financer des établissements privés à référence musulmane, très simplement, en toute légalité et sans que cela leur coûte quoique ce soit.

Al-Kanz : Plus largement, envisagez-vous d’autres modes de financement de ce type ?
Al-Kindi :
Oui, évidemment. Nous travaillons d’arrache-pied pour mettre au point d’autres sources de financement. C’est d’ailleurs en ce sens que notre équipe s’est doté d’un organisme moderne spécialisé dans la collecte des financements et la gestion de projets économiques : Al-Kindi Fd. Il s’agit d’un fonds de dotation créé pour financer le développement de l’enseignement confessionnel musulman en France et dont l’objectif est de nous permettre de construire dans la durée tout en cherchant de sources de financement à la fois pérennes et diversifiées. Le tout se trouve, je pense, résumé dans notre devise : “S’aider, pour ne jamais céder.”


“Aucune école privée musulmane ne pourra vivre en mendiant quelques pièces.”
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Education : communiqué de la MDE-Académie Fihri

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Répartition des écoles privées en France - EASI UP
Source : Education nationale

Les écoles musulmanes représentent moins de 0,3 % des écoles privées en France. On compte en effet 8 450 écoles catholiques, 282 écoles juives et seulement 30 écoles privées musulmanes et un certain nombre d’autres écoles privées diverses et variées.

Subventions de l'état attribuées aux écoles - EASI UP

Les premières sont subventionnées par l’Etat à hauteur de 6,7 milliards d’euros, les deuxièmes 225 millions, les troisièmes 1,2 millions (source : Senat.fr).

Autant dire que dans l’enseignement privé, toutes religions confondues, les écoles privées musulmanes représentent bien peu. Pourtant, elles occupent depuis le début de semaine une large place médiatique. A chaque jour son islamo-débat.

Parmi ces structures, l’association MDE-Académie Fihri, qui n’est pas à proprement parler une école, mais qui est engagée dans l’éducation, a fait les frais d’un acharnement journalistique et d’accusations mensongères. Nombre de rédactions ont saisi 5/5 le propos du Premier ministre Manuel Valls, selon qui l’essentiel n’est ni l’économie ni le chômage, mais la bataille contre l’islam et les musulmans.

Alors, plutôt que de prendre toute la mesure du mouvement citoyen naissant Nuit Debout, des journalistes préfèrent le reportage anxiogène, quitte à colporter des rumeurs et des calomnies.

Vous trouverez ci-après le communiqué de presse de l’association.

Depuis plusieurs jours, notre association MDE-Académie Fihri reçoit la visite de nombreux journalistes, parfois même de façon très cavalière et discourtoise. Ils viennent, disent-ils, pour « un reportage sur le communautarisme et la radicalisation ».

Nous devons ces visites à diverses mises en cause dans les médias entre le 24 et le 30 mars derniers, et ce à des heures de grande écoute. Ces accusations mensongères portent gravement atteinte à l’intégrité et à l’honneur de MDE-Académie Fihri. Nous souhaitons donc par le biais de ce communiqué rétablir la vérité concernant notre association et réaffirmer notre pacifisme ainsi que notre rejet de toute forme d’extrémisme ou de violence.

MDE-Académie Fihri a été désignée de manière erronée et donc mensongère comme étant une « école coranique », « tenue par des salafistes », un « lieu de radicalisation », un « danger » pour la jeunesse, la société et le vivre-ensemble.

Contrairement aux déclarations mensongères de ces derniers jours et par souci d’exactitude, nous tenons à affirmer que MDE-Académie Fihri n’est pas une école coranique. C’est une association implantée depuis 2007 à Sarcelles, qui accueille des enfants d’âge préscolaire pour des activités d’éveil et qui propose du soutien scolaire et des cours de langues à des enfants et adolescents dont beaucoup sont scolarisés au CNED ou en IEF. Ces informations sont disponibles en toute transparence sur notre site Internet.

Ces dernières années, MDE-Académie Fihri a également été reçue à plusieurs reprises par François Pupponi, le député-maire de Sarcelles, dans le cadre du développement de son projet. Ce qui prouve également que notre association existe bien de façon officielle et en toute légalité, sans jamais avoir causé de tort ni de préjudice à quiconque.

MDE-Académie Fihri ne préconise aucun extrémisme quel qu’il soit, et encore moins le recours à la violence. En plus des savoirs, nous transmettons aux enfants des valeurs universelles de respect et de tolérance, indispensables dans une structure telle que celle-ci, implantée dans une commune comme Sarcelles qui rassemble des individus d’origines géographiques et ethniques diverses.



 C’est pourquoi ces mensonges et ces accusations diffamatoires à l’égard de notre association, sont extrêmement graves. Par conséquent, MDE-Académie Fihri demande que son honneur et son intégrité soient respectés et forme le voeu d’un climat plus sain et plus apaisé.

Visitez le site de l’Académie-Fihri : http://academiefihri.com.

Taxe d’apprentissage : entrepreneurs, l’enseignement musulman compte sur votre soutien

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taxe apprentissage 2018

Tous les ans, avant la date butoir du 28 (ou 29) février, en France, les entreprises ayant des salariés doivent verser une taxe particulière, la fameuse « taxe d’apprentissage ».

Cet argent va, via un organisme collecteur, à l’établissement choisi par l’entreprise. Chacun comprendra dès lors que l’entrepreneuriat musulman compte particulièrement pour le développement de l’enseignement musulman.

En créant leurs propres entreprises, les musulmans peuvent ainsi non seulement créer de la richesse pour le pays, lutter contre la discrimination à l’emploi des femmes portant le voile ou des hommes musulmans souhaitant porter la barbe, et ainsi faire baisser le chômage, mais encore soutenir financièrement les établissements scolaires musulmans.

Cet impôt à pour vocation de financer “les dépenses nécessaires au développement des premières formations technologiques et professionnelles” (article 224 du code général des impôts). Les plus curieux trouveront l’ensemble des références sur le site officiel de l’administration française Service public.

taxe apprentissage
Capture d’écran du site Service public

Cette année, comme depuis 2010, Al-Kanz invite les entrepreneurs et les comptables à choisir le groupe scolaire Al-Kindi, à défaut de pouvoir vous proposer d’autres établissements

Appel aux établissements musulmans

Directeurs ou directrices d’établissement, enseignants, parents d’élèves, enseignants, élèves ou simplement gens de bonne volonté, si vous connaissez des établissements éligibles à la taxe d’apprentissage, veuillez, s’il vous plaît, les inviter à nous contacter afin que nous puissions les citer et ajouter leurs coordonnées dans cet article : webmaster[@]al-kanz.org (sans les crochets autour de @).

Ouvert en 2007, à Décines, près de Lyon (69), Al-Kindi mène campagne tous les ans depuis 2009 pour bénéficier de cette taxe d’apprentissage.

Ainsi que si vous êtes entrepreneurs et que votre entreprise doit payer cette taxe, rendez-vous sur la page dédiée du site du groupe scolaire : Al-Kindi : je verse ma taxe d’apprentissage.

De même si vous êtes comptables ou simplement salariés, faites votre part, parlez-en à votre patron de sorte qu’il puisse choisir Al-Kindi.

Lycée Al-Kindi

Etablissement privé musulman d’enseignement général et technologique

17 rue Sully – 69150 Décines
Portable : portable 06 73 17 40 39
Téléphone : 04 78 49 02 02
Fax : 04 78 49 02 03
Site web :
Email : taxeapprentissage@al-kindi.fr

Si vous n’êtes ni patron, ni salarié, ni comptable, vous pouvez néanmoins soutenir un tant soit peu Al-Kindi en diffusant cet article et/ou l’image suivante.

taxe apprentissage Al-Kindi

“Aucune école privée musulmane ne pourra vivre en mendiant quelques pièces.”
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Taxe d’apprentissage 2015 : versez-la aux établissements musulmans

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Chaque année, les entreprises versent une taxe appelée « taxe d’apprentissage », via un organisme collecteur, à un établissement qu’elles auront choisi. Ce versement doit se faire avant le 28 février.

Cette taxe est un impôt que les entreprises ont obligation de verser afin de financer “les dépenses nécessaires au développement des premières formations technologiques et professionnelles” (article 224 du code général des impôts). Elle représente 0,5 % de la masse salariale.

Avec l’émergence de l’enseignement privé musulman, cette taxe revêt un enjeu très important : si professionnels et employés musulmans se mobilisent efficacement, ce plusieurs centaines de milliers d’euros, voire plusieurs millions, qui pourraient revenir au privé musulman.

Que les chefs d’entreprise qui nous lisent et qui ont des employés fassent en sorte que leur comptable mentionnent un établissement privé musulman de leur choix, éligible à cette taxe. Que les comptables qui nous lisent invitent leur patron à choisir le privé musulman. Idem pour vous lecteurs d’Al-Kanz et employés. Que nul ne néglige sa capacité à agir.


Publiée initialement le 31 janvier 2012, l’interview suivante nous a été accordée par un responsable du groupe scolaire Al-Kindi, l’un des tout premiers établissements musulmans éligibles à la taxe d’apprentissage.

Entrepreneurs, reversez votre taxe d'apprentissage à l'établissement Al-Kindi

Al-Kanz : Comme chaque année depuis trois ans, vous sollicitez les entreprises pour qu’elles vous reversent l’argent de la taxe d’apprentissage. Pouvez-nous nous en dire plus sur cette taxe et son principe ?
Al-Kindi :
Oui, c’est assez simple. Pour faire court, la taxe d’apprentissage est un impôt dont doivent s’acquitter, avant le 1er mars, quasiment toutes les sociétés, commerces, associations… dès lors qu’ils embauchent du personnel. Cet impôt est, comme son nom l’indique, destiné à financer l’apprentissage et la formation professionnelle. En pratique, si une partie de l’impôt est obligatoirement récupérée par l’État, une autre est librement cessible. En clair, l’employeur peut décider d’offrir la quote-part libre de son impôt, à tel ou tel établissement qui sera agréé. Ce qui, en France, n’est actuellement possible que pour deux établissements privés à référence musulmane, le Groupe Scolaire Al Kindi et le lycée Averroès.

Al-Kanz : Qu’est-ce qui a amené Al-Kindi à se tourner vers les entreprises ?
Al-Kindi :
L’idée, comme le constat qui en est à l’origine, était simple. Les projets issus de la communauté musulmane affichent un taux de dépendance aux collectes publiques (marchés, levée de fonds lors des prières de vendredi, etc.) qui est exorbitant. Les gens sont trop sollicités, et finalement, se fatiguent. Le viabilité des projets est de ce fait gravement mise en péril. Les personnes en charge de projets collectifs doivent d’ailleurs savoir que d’autres sources de financement existent et qu’il leur incombe d’y avoir recours. Pour cela, il est nécessaire de se creuser la tête, de chercher à savoir, à comprendre, à vouloir dépasser les complexités des rouages de notre société. L’idée qui a présidé à notre rapprochement avec les entreprises répondait précisément à cette idée-force : aucune école privée ne pourra vivre grâce aux seules quêtes sur les marchés, en “mendiant” quelques pièces, de la charité de passants qui ne s’arrêtent même plus. L’exigence d’ouvrir et de faire vivre des établissements privés étant considéré comme un devoir religieux collectif et individuel, reposant sur l’individu comme au groupe auquel il appartient, nous nous sommes donc mis en quête de fonds là où il y en a. Et c’est ainsi que nous fûmes le premier établissement à référence musulmane à être éligibles à recevoir la taxe d’apprentissage.

Al-Kanz : Quel écho votre démarche a-t-elle à l’égard des entrepreneurs ?
Al-Kindi :
Un écho positif, assurément. Tout d’abord, les entrepreneurs sont en général trop occupés par leurs activités quotidiennes pour s’investir dans des projets non lucratifs, sociaux ou religieux. Les solliciter pour le reversement de leur taxe ou pour parrainer l’établissement leur offre ainsi une opportunité de faire coïncider leur activité professionnelle et leur désir de s’engager pour les autres, conformément aux exigences de l’éthique islamique. Par ailleurs, notre démarche présente aussi des vertus pédagogiques : trop nombreux sont en effet les entrepreneurs qui “délèguent”, pour ne pas dire abandonnent, la gestion fiscale et administrative de leur commerce à leur comptable. En les sensibilisant aux largesses de la loi et aux possibilités offertes aux acteurs de la vie économique de faire plus que de simplement créer de la richesse, nous leur donnons finalement des outils de compréhension du système qui leur servent à mieux appréhender leur environnement et, in fine, à mieux gérer leur propre entreprise.

Al-Kanz : A combien s’élève votre budget de fonctionnement ? Peut-on penser que le reversement de la taxe d’apprentissage puisse le couvrir dans sa totalité ?
Al-Kindi :
A ce jour, notre budget s’élève à plus de 1 550 000 euros par an. C’est gigantesque, je le reconnais. Et pourtant, s’agissant d’un établissement privé, c’est relativement peu par rapport au coût réel de ce que représente une scolarité. C’est là une vérité qui ne souffrira jamais d’être répétée : l’éducatif coûte très, très cher et ne rapporte pas d’argent. Il s’agit de “construire” des hommes, non plus simplement des murs, et en la matière c’est par la réunion solidaire de tous les hommes, l’union des énergies de toute une communauté que nous y parviendrons. Dans ce contexte, la taxe d’apprentissage pourrait-elle couvrir entièrement notre budget ? Mathématiquement, en considérant notre poids économique, oui. Très largement. En pratique, j’en ai seulement l’espoir. Car nous en sommes encore très loin. Pour y arriver, nous devons effectuer un travail colossal d’information, de mise en relation, et finalement, de “conscientisation”. L’objectif est de faire comprendre à tous les concernés que leur inaction est un gâchis incommensurable, dont nous aurons tous à répondre.

Al-Kanz : Comment nos lecteurs entrepreneurs peuvent-ils faire pour reverser la taxe d’apprentissage de leur société ?
Al-Kindi :
Très simplement. Il suffit de se rendre sur notre site dédié où tout est expliqué : www.al-kindi.fr.

Lycée Al-Kindi

Etablissement privé musulman d’enseignement général et technologique
Contact : Ymed ATTOUR
17 rue Sully – 69150 DECINES
Port. : 06 73 17 40 39
Fax : 04 78 49 02 03
Site web :
Email : taxeapprentissage@al-kindi.fr

Al-Kanz : Et ceux qui ne sont pas entrepreneurs, mais qui voudraient vous venir en aide. Comment peuvent-ils apporter leur aide ? On peut imaginer par exemple qu’ils en parlent à leur boulanger, leur boucher, leur épicier, etc., non ?
Al-Kindi :
Bien évidemment, nous connaissons tous des commerçants, des entrepreneurs qu’on peut appeler. De même, on peut communiquer sur les réseaux sociaux, faire des pages, transférer des mails, passer quelques coup de fils… On ne se doute pas de l’impact de ces petits gestes qui bien souvent changent tout. En faisant la démarche d’aller parler à son commerçant, en lui laissant une plaquette d’information qu’on peut télécharger sur notre site, en insistant pour qu’il n’oublie pas, on devient des acteurs de l’enseignement confessionnel musulman. Et ce n’est pas rien. Aussi minime soit-il, chaque acte devient alors, quand on le relie aux autres, la goutte de pluie annonçant l’averse d’un changement historique. C’est immense ! Wal HamduliLlah. L’idée est d’informer le plus grand nombre de la possibilité de financer des établissements privés à référence musulmane, très simplement, en toute légalité et sans que cela leur coûte quoique ce soit !!

Al-Kanz : Plus largement, envisagez-vous d’autres modes de financement de ce type ?
Al-Kindi :
Oui, évidemment. Nous travaillons d’arrache-pied pour mettre au point d’autres sources de financement. C’est d’ailleurs en ce sens que notre équipe s’est doté d’un organisme moderne spécialisé dans la collecte des financements et la gestion de projets économiques : Al-Kindi Fd. Il s’agit d’un fonds de dotation créé pour financer le développement de l’enseignement confessionnel musulman en France et dont l’objectif est de nous permettre de construire dans la durée tout en cherchant de sources de financement à la fois pérennes et diversifiées. Le tout se trouve, je pense, résumé dans notre devise : “S’aider, pour ne jamais céder.”

rediffusion de l’article publié le 31 janvier 2012

L’article Taxe d’apprentissage 2015 : versez-la aux établissements musulmans est apparu en premier sur Halal & halal.

Enseignement privé musulman : l’école Loqman de Nanterre obtient l’agrément

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ecole privée musulmane loqman nanterre

Voilà une étape importante que vient de franchir l’école privée musulmane Loqman, située à Nanterre, dans les Hauts-de-Seine. L’annonce a été faite sur Facebook, il y a près de quinze jours, par le collectif Ideal à l’origine du projet.

Dernière étape : Autorisation de l'académie OK !L'école Louqman est officiellement la première école primaire musulmane de Nanterre.Al hamdoulillah !Merci à tous pour votre soutien…

Posted by Collectif Ideal on mercredi 15 avril 2015

L’académie de Versailles a donc donné son feu vert pour que cette nouvelle école puisse fonctionner. Attention, il s’agit de l’agrément, à distinguer du contrat que peut obtenir tout établissement d’enseignement privé avec l’Etat. “En contrepartie”, peut-on lire sur le site du ministère de l’Education nationale, “l’État rémunère les enseignants, qui ont réussi des concours analogues à ceux de l’enseignement public, et les collectivités publiques financent le fonctionnement de l’établissement dans les mêmes proportions qu’ils financent les écoles et les établissements publics.”

On compte aujourd’hui une trentaine d’établissements privés musulmans, 282 juifs, 8 485 catholiques. Une trentaine d’établissements en activité, auxquels il faut ajouter environ autant de projets d’écoles en cours.

Lire – 58 écoles, collèges et lycées musulmans en France

Comme le précise, Oumma School, association qui s’est donné pour objectif de participer au financement des établissements scolaires privés hors contrats, l’école primaire Loqman devient la première école privée musulmane des Hauts-de-Seine agréée par l’Etat.

l’école primaire Loqman devient la première école privée musulmane des Hauts-de-Seine agréée par l’Etat

L’agrément est le début d’une aventure, mais aussi des difficultés, puisqu’il va falloir financer chaque année le fonctionnement de l’école. En soutenant financièrement une école privée, vous permettez à des parents aux faibles revenus de pouvoir y accéder.

Moins l’école a d’argent, plus les parents doivent supporter des frais scolaires importants. Il est important que chacun d’entre nous en prenne réellement conscience. Cliquez sur le lien suivant pour accéder à la page de soutien de l’école Loqman : je soutiens l’école privée musulman Loqman

L’article Enseignement privé musulman : l’école Loqman de Nanterre obtient l’agrément est apparu en premier sur Halal & halal.

Enseignement musulman : un lycée ouvre à Strasbourg pour la rentrée 2015

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lycee musulman yunus emre strasbourg ditibLycée Yunus-Emre, ©DITIB Strasbourg

La section strabourgeoise de l’association turque DITIB s’apprête à accueillir dans un mois les lycéens de son nouvel établissement, le lycée Yunus-Emre.

Premier lycée musulman qui ouvre ses portes en Alsace, Yunus-Emre offrira à celles et ceux qui le souhaitent la possibilité de suivre un double cursus : celui, classique, de l’Education nationale, et celui de l’enseignement confessionnel en vigueur en Turquie.

Le lycée privé se trouve au 6 rue Thomas-Mann, à Strasbourg (67200).

Un formulaire de préinscription est disponible au téléchargement. Pour y accéder, cliquez sur le lien suivant : Préinscription lycée musulman Yunus-Emre.

Pour plus d’informations, vous pouvez contacter l’établissement aux numéros et email suivants :
– téléphone : 03 88 330 430
– portable : 06 22 44 19 29
– email : info@yunusemrelisesi.fr

La France compte à ce jour plus d’une soixantaine d’établissements privés musulmans ou de projets d’établissement.

Lire – 63 écoles, collèges et lycées musulmans en France

L’article Enseignement musulman : un lycée ouvre à Strasbourg pour la rentrée 2015 est apparu en premier sur Halal & halal.

Enseignement musulman : le boom des écoles privées

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enseignement musulman ecole
Capture d’écran ©Libération

La communauté musulmane de France est définitivement entrée dans une nouvelle ère. Après l’érection des mosquées, les musulmans s’attellent à développer l’enseignement musulman à travers l’Hexagone et les départements et territoires d’outre-mer.

Des écoles à travers toute la France

C’est en effet plusieurs dizaines d’écoles en fonctionnement ou de projets d’école que l’on recense à ce jour.

Lire – Enseignement musulman : 63 établissements et projets privés en France

La donne a véritablement changé, puisque, avec le développement de l’enseignement musulman, survient aujourd’hui pour les familles un problème tout nouveau : la demande dépasse largement l’offre. Trouver une place dans un établissement musulman demeure difficile. Une étape a donc clairement été franchie. Nous sommes passés de “Il faut des écoles musulmanes privées” à “Il faut augmenter le nombre de places dans les écoles musulmanes privées”.

Une signe ne trompe pas : tout nouvel établissement qui ouvre ses portes est systématiquement inondé de demandes et peine généralement à répondre à la forte affluence. Et un peu plus amont, c’est la capacité financière des porteurs de projet d’ouvrir rapidement une école qui ralentit l’ouverture de nouveaux établissements. Les musulmans ont pourtant collectivement les moyens de financer ces projets.

Pour un financement participatif et collectif

C’est pourquoi la participation active de l’ensemble de la communauté musulmane, à l’instar de ce qui est fait depuis des décennies pour les mosquées, est indispensable. Insistons sur “l’ensemble” : un célibataire ne doit pas attendre d’être marié et d’avoir des enfants pour se préoccuper de cet enjeu. Bien au contraire. De même, si vous êtes à la retraite ou que vous n’avez plus d’enfants en âge d’aller à l’école, votre participation compte tout autant que celle des parents d’élèves.

Ouvrir de nouvelles écoles ne se fera pas sans les musulmans, ni l’argent des musulmans. Avec Easi Up, nous avons choisi de consacrer notre plateforme de financement participatif une place déterminante pour l’enseignement musulman. Ainsi, nous vous invitons, si tant est que cet enjeu pour la communauté musulmane vous semble fondamental, à vous rendre sur www.easiup.fr et de financer selon votre envie et vos moyens le ou les projets en recherche de financements, dont les suivants :

Centre des Feuilles vives à Champigny-sur-Marne (94)

Institut d’Enseignement Ibn Badis à Nanterre (92)


Ouvrir de nouvelles écoles ne se fera pas sans les musulmans. Mobilisons-nous, vraiment !
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Gratuité pour les élèves défavorisés : une école privée choisit le parrainage

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olivier des enfants

Vous le savez, depuis l’an dernier, dans le cadre de notre partenariat exclusif avec 570 easi, nous essayons de promouvoir, par le truchement de campagnes de financement participatif, au développement de l’enseignement musulman. Vous êtes nombreux à vous engager pour soutenir les structures qui vous sont présentées dans le cadre de ces opérations en ligne.

Aujourd’hui, nous aimerions mettre en lumière l’initiative d’une école privée musulmane, L’Olivier des enfants, sise à Champigny-sur-Marne, dans le Val-de-Marne (94). Cette école s’est donnée un double objectif d’enseignement et d’éducation, à travers une pédagogie, la pédagogie Montessori.

“[…] donner à l’enfant la possibilité́ de développer des compétences indispensables à la construction d’une personnalité́ équilibrée et heureuse. Les apprentissages sont organisés de telle manière que chaque élève a la possibilité́ d’apprendre, de progresser et d’évoluer et ce, quel que soit son niveau de départ.”

Comme vous l’apprendrez dans la vidéo suivante, l’école prévoit de devenir gratuite à moyen terme. Mais elle ne pourra réaliser ce but qu’à la condition de recevoir dans un premier temps un coup de main, le nôtre, celui de tous. D’où la demande de financement d’une “caisse de parrainage afin de rendre l’enseignement privé plus accessible aux familles en difficultés“, via la plateforme de crowdfunding (financement participatif) Easi Up.

Pour l’heure, la caisse de parrainage est financée à hauteur de 18 %. Nous sommes dans les dix premiers jours de dhul hijja, soit dans une période où il est fortement recommandé de multiplier les bonnes oeuvres, les actes de charité et de générosité. Pensez à ces enfants et à cette tristesse que vous éradiquerez in cha’a-Llah en leur offrant l’opportunité de suivre l’enseignement des Oliviers des enfants. L’écolière ne dira plus “je suis triste, je l’aime moi mon école”.

Ne laissez pas d’autres être généreux à votre place, les candidats à la solidarité sont rares. Soyez de ceux-là, cliquez sur le lien suivant pour aider financièrement: je finance la caisse de parrainage.

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Institut Ibn Badis : plus que 1 000 euros pour équiper 7 classes

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ibn badis

Enseignement musulman. Aménager ses sept classes – du CP à la terminale – pour la somme totale de 20 000 euros, c’est l’objectif que s’est donné l’institut Ibn Badis, un groupe scolaire privé musulmane, situé dans le département des Hauts-de-Seine (92), plus précisément dans la ville de Nanterre.

ibn badis amenagement

Ouvert depuis la rentrée 2015, soit depuis septembre dernier, l’institut Ibn Badis pourra équiper ces classes si avant mercredi les 20 000 euros sont récoltés. Or, deux jours avant la fin de la collecte, ce ne sont pas moins de 18 965 euros qui sont déjà dans la caisse. Soit plus que 1 035 euros pour atteindre l’objectif. Précision d’importance : si la somme de 20 000 euros n’est pas atteinte à la fin de la campagne, l’argent récolté par Ibn Badis sera rendu aux généreux donateurs. Avouons que cela serait bien ballot, n’est-ce pas ?

Lundi 2 novembre, l’institut Ibn Badis a collecté 94 % de la somme totale. Un coup de pouce de quelques euros chères lectrices, un don motivé par votre souhait de voir l’enseignement privé musulman grandir chers lecteurs, et les 6 % restants, les 1 035 euros qu’il reste à collecter seront dans la caisse.

Pour faire un don dès maintenant, cliquez sur le lien suivant : Institut d’Enseignement Ibn Badis à Nanterre (92).

Attention, si la somme des 20 000 euros est atteinte et que vous souhaitez tout de même faire un don, c’est possible. L’argent supplémentaire sera affecté de la même manière au budget de fonctionnement de l’Institut Ibn Badis.

Vous pouvez même devenir un bienfaiteur régulier en mettant en place un virement automatique qui permettrait au groupe scolaire de sécuriser ses sources de financement : Je soutiens l’institut Ibn Badis.

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Comment encourager l’éducation permet de payer moins d’impôts

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college musulman alif
Collège privé musulman Alif, Toulouse

Pour ceux qui ne l’ont pas déjà reçu ces derniers jours, l’avis d’imposition annuel sur le revenu ne devrait pas tarder à pointer le bout de son nez. En l’ouvrant, vous aurez le plaisir de découvrir le montant de l’impôt dont vous vous acquitterez cette année.

Certains contribuables ne paient pas d’impôts

En 2013, en France, chaque foyer imposable a payé en moyenne autour de 2 320,40 euros d’impôts sur le revenu. Ceux qui ne sont pas imposables du fait de revenus trop faibles n’ont pas payé d’impôts. Mais ils ne sont pas les seuls à ne pas avoir payé d’impôts.

Des contribuables, qui auraient dû s’acquitter au vu de leurs revenus d’un impôt atteignant parfois plusieurs milliers d’euros, n’ont rien eu à payer, pas le moindre centime d’euro. Ils n’ont malgré tout ni fraudé ni bénéficié d’un passe-droit.

La pratique, aussi banale que répandue, est encouragée par l’Etat afin d’amener la société civile, principalement les particuliers, à soutenir des organismes d’intérêt général. Autrement dit, un contribuable qui aide financièrement un organisme qui oeuvre pour le bien de la société sera “récompensé” directement sur sa feuille d’impôts.

Conditions d’une réduction d’impôts

La réduction d’impôts pour les particuliers est encadrée par l’article 200 (et 200-bis) du code général des impôts. Ses principales conditions sont les suivantes :
– la réduction d’impôt est de 66 % ;
– le don ne doit pas excéder 20 % du revenu imposable ;
– l’excédent est reporté sur les cinq années suivantes et donne droit à une réduction d’impôt dans les mêmes conditions.

Réduisez vos impôts en contribuant à l’enseignement privé

Vous payez depuis des années des impôts. Vous n’y voyez pas d’inconvénients, mais vous vous dites régulièrement que cet argent aurait pu bénéficier à telle ou telle association particulièrement chouette, mais qui peine à boucler son budget de fonctionnement, à l’instar des établissements privés musulmans.

Lire – Ecoles, collèges et lycées musulmans de France

N’attendez plus. Les 2, 3 ou 4 000 euros que vous payiez jusque-là aux impôts peuvent finir dans la caisse de l’établissement scolaire de votre choix. Pour cela, commencez par vérifier que l’école est bien agréée par l’Etat. C’est là une première reconnaissance administrative, et donc une première assurance.

Tâchez de prendre contact avec l’école, de l’académie, voire des impôts afin de vous assurer que votre don sera bien déductible de vos impôts. Une réponse par courriel de l’académie ou des impôts vous certifiant que tel ou tel établissement est bien concerné par la réduction fiscale vous permettra de faire votre don en toute sérénité.

Estimez le montant de votre prochain impôt sur le revenu grâce au simulateur en ligne du ministère de l’Economie et des Finances : simulateur de calcul de l’impôt sur les revenus. Anticipez le montant de votre futur impôt vous permettra de connaître le montant maximum du don que vous pouvez faire tout en bénéficiant de la réduction fiscale.

Prenons un exemple

Prenons le cas d’une personne ou d’un foyer devant s’acquitter l’an prochain, après estimation, d’un impôt d’un montant de 2 000 euros.

Pour déterminer la somme totale qu’il peut donner à une école, une association, etc. – et tout organisme permettant aux donateurs de prétendre, selon la loi, à une réduction d’impôts — pour arriver à un impôt égal à zéro, il suffit simplement de multiplier les 2 000 euros estimés par 1,5.

En clair, si j’ai 2 000 euros à payer l’an prochain aux impôts, il me suffit de donner 3 000 euros à un ou plusieurs organismes reconnus : 2 000 x 1,5 = 3 000 euros.

S’agissant des écoles à soutenir, vous pouvez retrouver la liste des établissements en fonctionnement et les projets d’école que nous avons recensé à ce jour en cliquant sur le lien suivant : Ecoles, collèges et lycées musulmans de France.

Terminons en rappelant que cette réduction d’impôts s’applique aussi aux organisations humanitaires et à bien d’autres associations. N’hésitez donc pas à vous renseigner et à donner toujours plus.


Soutenez l’enseignement privé musulman et payez moins d’impôts.
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Rediffusion du 6 septembre 2014

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Taxe d’apprentissage 2016 : versez-la aux établissements musulmans

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Al-Kindi
© Al-Kindi

Chaque année, les entreprises qui ont des salariés versent une taxe appelée « taxe d’apprentissage », via un organisme collecteur, à un établissement qu’elles auront choisi. Ce versement doit se faire avant le 29 février.

Cette taxe est un impôt que les entreprises ont obligation de verser afin de financer “les dépenses nécessaires au développement des premières formations technologiques et professionnelles” (article 224 du code général des impôts). Elle représente 0,5 % de la masse salariale.

Avec l’émergence de l’enseignement privé musulman, cette taxe revêt un enjeu très important : si professionnels et employés musulmans se mobilisent efficacement, ce plusieurs centaines de milliers d’euros, voire plusieurs millions, qui pourraient revenir au privé musulman.

Lire – Enseignement musulman : 65 établissements et projets privés en France

Que les chefs d’entreprise qui nous lisent et qui ont des employés demandent très explicitement à leur comptable de remplir les formulaires ad hoc en mentionnant un établissement privé musulman de leur choix, éligible à cette taxe. Que les comptables qui nous lisent invitent leur patron à choisir le privé musulman. Les salariés quant à eux peuvent en toucher deux mots à leur collègue comptable ou à leur patron, si la situation s’y prête.

Dans tous les cas, cette fois encore la mobilisation de chacun avant le 29 février peut profiter aux établissements éligibles. Les parents d’élèves ou futurs parents d’élèves ont leur rôle à jour en diffusant l’information. Il en va de la viabilité de l’enseignement musulman qui peut trouver dans l’entrepreneuriat musulman une partie des ressources vitales qui lui font encore défaut.


Publiée initialement le 31 janvier 2012, l’interview suivante, toujours d’actualité, nous a été accordée par un responsable du groupe scolaire Al-Kindi, l’un des tout premiers établissements musulmans éligibles à la taxe d’apprentissage.

Entrepreneurs, reversez votre taxe d'apprentissage à l'établissement Al-Kindi

Al-Kanz : Comme chaque année depuis trois ans, vous sollicitez les entreprises pour qu’elles vous reversent l’argent de la taxe d’apprentissage. Pouvez-nous nous en dire plus sur cette taxe et son principe ?
Al-Kindi :
Oui, c’est assez simple. Pour faire court, la taxe d’apprentissage est un impôt dont doivent s’acquitter, avant le 1er mars, quasiment toutes les sociétés, commerces, associations… dès lors qu’ils embauchent du personnel. Cet impôt est, comme son nom l’indique, destiné à financer l’apprentissage et la formation professionnelle. En pratique, si une partie de l’impôt est obligatoirement récupérée par l’État, une autre est librement cessible. En clair, l’employeur peut décider d’offrir la quote-part libre de son impôt, à tel ou tel établissement qui sera agréé. Ce qui, en France, n’est actuellement possible que pour deux établissements privés à référence musulmane, le Groupe Scolaire Al Kindi et le lycée Averroès.

Al-Kanz : Qu’est-ce qui a amené Al-Kindi à se tourner vers les entreprises ?
Al-Kindi :
L’idée, comme le constat qui en est à l’origine, était simple. Les projets issus de la communauté musulmane affichent un taux de dépendance aux collectes publiques (marchés, levée de fonds lors des prières de vendredi, etc.) qui est exorbitant. Les gens sont trop sollicités, et finalement, se fatiguent. Le viabilité des projets est de ce fait gravement mise en péril. Les personnes en charge de projets collectifs doivent d’ailleurs savoir que d’autres sources de financement existent et qu’il leur incombe d’y avoir recours. Pour cela, il est nécessaire de se creuser la tête, de chercher à savoir, à comprendre, à vouloir dépasser les complexités des rouages de notre société. L’idée qui a présidé à notre rapprochement avec les entreprises répondait précisément à cette idée-force : aucune école privée ne pourra vivre grâce aux seules quêtes sur les marchés, en “mendiant” quelques pièces, de la charité de passants qui ne s’arrêtent même plus. L’exigence d’ouvrir et de faire vivre des établissements privés étant considéré comme un devoir religieux collectif et individuel, reposant sur l’individu comme au groupe auquel il appartient, nous nous sommes donc mis en quête de fonds là où il y en a. Et c’est ainsi que nous fûmes le premier établissement à référence musulmane à être éligibles à recevoir la taxe d’apprentissage.

Al-Kanz : Quel écho votre démarche a-t-elle à l’égard des entrepreneurs ?
Al-Kindi :
Un écho positif, assurément. Tout d’abord, les entrepreneurs sont en général trop occupés par leurs activités quotidiennes pour s’investir dans des projets non lucratifs, sociaux ou religieux. Les solliciter pour le reversement de leur taxe ou pour parrainer l’établissement leur offre ainsi une opportunité de faire coïncider leur activité professionnelle et leur désir de s’engager pour les autres, conformément aux exigences de l’éthique islamique. Par ailleurs, notre démarche présente aussi des vertus pédagogiques : trop nombreux sont en effet les entrepreneurs qui “délèguent”, pour ne pas dire abandonnent, la gestion fiscale et administrative de leur commerce à leur comptable. En les sensibilisant aux largesses de la loi et aux possibilités offertes aux acteurs de la vie économique de faire plus que de simplement créer de la richesse, nous leur donnons finalement des outils de compréhension du système qui leur servent à mieux appréhender leur environnement et, in fine, à mieux gérer leur propre entreprise.

Al-Kanz : A combien s’élève votre budget de fonctionnement ? Peut-on penser que le reversement de la taxe d’apprentissage puisse le couvrir dans sa totalité ?
Al-Kindi :
A ce jour, notre budget s’élève à plus de 1 550 000 euros par an. C’est gigantesque, je le reconnais. Et pourtant, s’agissant d’un établissement privé, c’est relativement peu par rapport au coût réel de ce que représente une scolarité. C’est là une vérité qui ne souffrira jamais d’être répétée : l’éducatif coûte très, très cher et ne rapporte pas d’argent. Il s’agit de “construire” des hommes, non plus simplement des murs, et en la matière c’est par la réunion solidaire de tous les hommes, l’union des énergies de toute une communauté que nous y parviendrons. Dans ce contexte, la taxe d’apprentissage pourrait-elle couvrir entièrement notre budget ? Mathématiquement, en considérant notre poids économique, oui. Très largement. En pratique, j’en ai seulement l’espoir. Car nous en sommes encore très loin. Pour y arriver, nous devons effectuer un travail colossal d’information, de mise en relation, et finalement, de “conscientisation”. L’objectif est de faire comprendre à tous les concernés que leur inaction est un gâchis incommensurable, dont nous aurons tous à répondre.

Al-Kanz : Comment nos lecteurs entrepreneurs peuvent-ils faire pour reverser la taxe d’apprentissage de leur société ?
Al-Kindi :
Très simplement. Il suffit de se rendre sur notre site dédié où tout est expliqué : www.al-kindi.fr.

Lycée Al-Kindi

Etablissement privé musulman d’enseignement général et technologique
Contact : Ymed ATTOUR
17 rue Sully – 69150 DECINES
Port. : 06 73 17 40 39
Fax : 04 78 49 02 03
Site web :
Email : taxeapprentissage@al-kindi.fr

Al-Kanz : Et ceux qui ne sont pas entrepreneurs, mais qui voudraient vous venir en aide. Comment peuvent-ils apporter leur aide ? On peut imaginer par exemple qu’ils en parlent à leur boulanger, leur boucher, leur épicier, etc., non ?
Al-Kindi :
Bien évidemment, nous connaissons tous des commerçants, des entrepreneurs qu’on peut appeler. De même, on peut communiquer sur les réseaux sociaux, faire des pages, transférer des mails, passer quelques coup de fils… On ne se doute pas de l’impact de ces petits gestes qui bien souvent changent tout. En faisant la démarche d’aller parler à son commerçant, en lui laissant une plaquette d’information qu’on peut télécharger sur notre site, en insistant pour qu’il n’oublie pas, on devient des acteurs de l’enseignement confessionnel musulman. Et ce n’est pas rien. Aussi minime soit-il, chaque acte devient alors, quand on le relie aux autres, la goutte de pluie annonçant l’averse d’un changement historique. C’est immense ! Wal HamduliLlah. L’idée est d’informer le plus grand nombre de la possibilité de financer des établissements privés à référence musulmane, très simplement, en toute légalité et sans que cela leur coûte quoique ce soit.

Al-Kanz : Plus largement, envisagez-vous d’autres modes de financement de ce type ?
Al-Kindi :
Oui, évidemment. Nous travaillons d’arrache-pied pour mettre au point d’autres sources de financement. C’est d’ailleurs en ce sens que notre équipe s’est doté d’un organisme moderne spécialisé dans la collecte des financements et la gestion de projets économiques : Al-Kindi Fd. Il s’agit d’un fonds de dotation créé pour financer le développement de l’enseignement confessionnel musulman en France et dont l’objectif est de nous permettre de construire dans la durée tout en cherchant de sources de financement à la fois pérennes et diversifiées. Le tout se trouve, je pense, résumé dans notre devise : “S’aider, pour ne jamais céder.”


“Aucune école privée musulmane ne pourra vivre en mendiant quelques pièces.”
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Education : communiqué de la MDE-Académie Fihri

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Répartition des écoles privées en France - EASI UP
Source : Education nationale

Les écoles musulmanes représentent moins de 0,3 % des écoles privées en France. On compte en effet 8 450 écoles catholiques, 282 écoles juives et seulement 30 écoles privées musulmanes et un certain nombre d’autres écoles privées diverses et variées.

Subventions de l'état attribuées aux écoles - EASI UP

Les premières sont subventionnées par l’Etat à hauteur de 6,7 milliards d’euros, les deuxièmes 225 millions, les troisièmes 1,2 millions (source : Senat.fr).

Autant dire que dans l’enseignement privé, toutes religions confondues, les écoles privées musulmanes représentent bien peu. Pourtant, elles occupent depuis le début de semaine une large place médiatique. A chaque jour son islamo-débat.

Parmi ces structures, l’association MDE-Académie Fihri, qui n’est pas à proprement parler une école, mais qui est engagée dans l’éducation, a fait les frais d’un acharnement journalistique et d’accusations mensongères. Nombre de rédactions ont saisi 5/5 le propos du Premier ministre Manuel Valls, selon qui l’essentiel n’est ni l’économie ni le chômage, mais la bataille contre l’islam et les musulmans.

Alors, plutôt que de prendre toute la mesure du mouvement citoyen naissant Nuit Debout, des journalistes préfèrent le reportage anxiogène, quitte à colporter des rumeurs et des calomnies.

Vous trouverez ci-après le communiqué de presse de l’association.

Depuis plusieurs jours, notre association MDE-Académie Fihri reçoit la visite de nombreux journalistes, parfois même de façon très cavalière et discourtoise. Ils viennent, disent-ils, pour « un reportage sur le communautarisme et la radicalisation ».

Nous devons ces visites à diverses mises en cause dans les médias entre le 24 et le 30 mars derniers, et ce à des heures de grande écoute. Ces accusations mensongères portent gravement atteinte à l’intégrité et à l’honneur de MDE-Académie Fihri. Nous souhaitons donc par le biais de ce communiqué rétablir la vérité concernant notre association et réaffirmer notre pacifisme ainsi que notre rejet de toute forme d’extrémisme ou de violence.

MDE-Académie Fihri a été désignée de manière erronée et donc mensongère comme étant une « école coranique », « tenue par des salafistes », un « lieu de radicalisation », un « danger » pour la jeunesse, la société et le vivre-ensemble.

Contrairement aux déclarations mensongères de ces derniers jours et par souci d’exactitude, nous tenons à affirmer que MDE-Académie Fihri n’est pas une école coranique. C’est une association implantée depuis 2007 à Sarcelles, qui accueille des enfants d’âge préscolaire pour des activités d’éveil et qui propose du soutien scolaire et des cours de langues à des enfants et adolescents dont beaucoup sont scolarisés au CNED ou en IEF. Ces informations sont disponibles en toute transparence sur notre site Internet.

Ces dernières années, MDE-Académie Fihri a également été reçue à plusieurs reprises par François Pupponi, le député-maire de Sarcelles, dans le cadre du développement de son projet. Ce qui prouve également que notre association existe bien de façon officielle et en toute légalité, sans jamais avoir causé de tort ni de préjudice à quiconque.

MDE-Académie Fihri ne préconise aucun extrémisme quel qu’il soit, et encore moins le recours à la violence. En plus des savoirs, nous transmettons aux enfants des valeurs universelles de respect et de tolérance, indispensables dans une structure telle que celle-ci, implantée dans une commune comme Sarcelles qui rassemble des individus d’origines géographiques et ethniques diverses.



 C’est pourquoi ces mensonges et ces accusations diffamatoires à l’égard de notre association, sont extrêmement graves. Par conséquent, MDE-Académie Fihri demande que son honneur et son intégrité soient respectés et forme le voeu d’un climat plus sain et plus apaisé.

Visitez le site de l’Académie-Fihri : http://academiefihri.com.

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En Angleterre, les trois meilleures écoles du secondaire sont musulmanes

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meilleures écoles anglaises sont musulmanes
Eden Boys’ School, Birmingham

En Grande-Bretagne, les autorités viennent de rendre publique le palmarès des établissements scolaires du pays.

En Angleterre – l’Irlande du Nord, l’Ecosse et le Pays de Galles ont leur propre classement–, les trois premiers établissements du secondaire sont musulmans.

Il s’agit de la Tauheedul Islam Girls’ High School, l’Eden Boys’ School de Birmingham et l’Eden Girls’ School de Coventry.

Sept autres écoles se classent dans le top 20 :

– la Preston Muslim Girls High School arrive en dixième position
– l’Eden Girls’ School Waltham Forest en douzième
– Eden Girls’ School in Slough en quatorzième
– la Bolton Muslim Girls School en quinzième
– Al-Hijrah School en vingtième

Soit huit écoles musulmanes dans ce très officiel, et gouvernemental, palmarès qui compte 6 502 établissements.

meilleures écoles anglaises sont musulmanes

Dans un communiqué de presse, le Muslim Council of Britain rend “hommage aux enseignants, aux parents et aux élèves de ces écoles” et souligne que “grâce à un travail acharné et au dévouement, les enfants de tous les horizons et de tous les milieux éducatifs peuvent le meilleur d’eux-mêmes.”

En France, braconnant sur les terres de Marine Le Pen dans l’espoir de séduire ses électeurs, le gouvernement Macron a choisi de criminaliser l’enseignement privé musulman.

Pour accéder au classement officiel, rendez-vous sur le site gouvernemental dédié en cliquant sur le lien suivant : All schools and colleges in England.


Huit écoles musulmanes se classent dans les vingt meilleurs établissements du secondaire anglais, dont trois sur le podium.
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